SGNWOK, tel est l’acronyme qu’il va falloir essayer de retenir à présent pour continuer à surfer la vague montante du karting. Son producteur, le toujours sémillant Philippe Kalmès, s’en explique brièvement:
” On m’a toujours demandé ce que signifiaient les 3 lettres KSP. J’ai réussi à entretenir le mystère, mais maintenant, avec la SGNWOK, je prends le public à contre-pied et je révèle tout d’entrée de jeu.
S comme Super, parce que nous avons souhaité que cette nouvelle série soit super avant tout, G comme grand, parce, tant qu’à faire, autant voir les choses en grand, N comme Nationals pour bien faire comprendre que cela concerne toutes les nations, W comme winning parce qu’il s’agit de compétition et donc de victoire avant tout et que cela somme mieux en Anglais qu’en Portugais. O pour of, avec un seul F, et enfin K comme Karting parce que nous ne faisons pas dans la boule lyonnaise.” En effet, tout s’éclaire.
“Notre objectif est avant tout de créer enfin la plus grande série de karting dans laquelle des pilotes, tous super, se disputeront la victoire aux niveaux intra et inter nationaux.” continue encore le boss de KSP. “Après tant d’années passées à observer, à rendre compte, à encenser ou à critiquer parfois, le temps est venu de passer à l’action. Il va falloir s’attendre à des nouveautés de grande envergure, une vraie révolution, mais je ne peux malheureusement pas en dire davantage pour le moment.”
Hors micro, le producteur de l’évènement laissait néanmoins filtrer quelques informations. La SGNWOK se déroulerait au coeur de grandes villes sur des tracés temporaires sécurisés par des barrières Tecpro. Le résultat des élections municipales à Paris laisse espérer une manche inaugurale au bord de la Seine. Grâce aux contacts rapprochés entre KSP et Eurosport, la couverture télévisuelle des courses ne sera pas un vain mot. Les caméras GoPro désormais inutilisées par la fédération internationale reprendront du service en direct live de la piste et il pourrait en être de même pour les moteurs 4 temps de course Briggs and Stratton qui ont bien failli bouleversé le karting à l’aube des années 2000. Il est d’autre part question que les concurrents soient grassement payés pour continuer à rouler en kart au lieu de se précipiter dans les embouteillages de l’automobile. Kartcom est actuellement en train d’invesitiguer, plutôt deux fois qu’une, pour tenter d’en savoir plus sur ce concept novateur à plus d’un titre, ne serait-ce que par son superbe logo psychédélique.
Info Kartcom