Touché au moral comme au physique par le terrible accrochage qui a impliqué pas moins de 20 superkarts au départ de la course 2, Marc Léon se remet de ses émotions teutones.
Le matériel est détruit, mais pas l’homme : « Malgré la violence du choc, je m’en tire avec un gros hématome au coude et une côte félée, donc… rien de grave ! » déclare après coup le Bisontin.
Restent malgré tout les souvenirs d’un tracé intéressant quoi que sacrément bosselé, d’infrastructures impressionnantes, d’un public énorme attiré par le DTM et du charme entêtant de Bérengère…
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